Nom : Weary
Prénom : Deran
Surnom : Pas besoin
Âge : 33 ans
Date et lieu de naissance : 21 juillet à Ottawa
Nationalité et origines : Canadien mais avec des origines américaines par son paternel et bien entendu Canadiennes par sa mère !
Date d'arrivée à Ottawa : Depuis toujours
Situation familiale : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Situation professionnelle et financière : Entre le garage qui fonctionne bien et les vols que je fais avec ma famille, je m'en sors très très bien !
Signes distinctifs : A de longs cheveux ○ A plusieurs tatouages ○ Fume énormément
Groupe : BUSY BEAVER
Avatar : Charlie Hunnam
Anecdotes
L'intro - Chaque famille a des secrets et la nôtre est douée dans ce domaine. On peut se classer dans la catégorie des malfrats et à la tête de tous, on a Jeanine. A première vue, c'est une mère douce et attentionnée. Et pour nous, les gars de la famille Weary, c'est la seule femme de notre vie, enfin ça, c'est ce qu'elle aimerait. Notre petite soeur a du potentiel et peut-être qu'elle fera bientôt de l'ombre à maman. Enfin, c'est ce que je pense, mais malgré tout, je ne pense pas que j'aurais donné ma place pour être dans une autre famille. J'aurais fini par m'ennuyer, mais ici, les mots qui résonnent dans la maison familiale, c'est Weary et fier de l'être !
Détails - Je suis le plu proche de Craig, mon petit frère. J'aime pas l'insulté d'idiot, mais quand je suis fâché, ça sort tout seul. J'aime pas l'admettre, mais quand on se bastonne, il a souvent le dessus. C'est une base, je sais qu'il ne se donne pas toujours à fond, sinon je serais à l'hôpital plus souvent, car je l'ai déjà vu faire. J'aime sa simplicité de vivre, faire du sport avec lui, on aime d'ailleurs tous les deux la motocross. Son défaut c'est toutes ces drogues qui tournent autour de lui. C'est d'après moi ce qui le rend ainsi.
Mon grand frère et moi, c'est une relation de chien et chat. J'aime le détester et je déteste l'aimer. Souvent je me retrouve à faire le sale boulot avec Craig. L'aîné, lui, il a le soutien de maman et étant le premier, il se prend pour le chef, mais malgré ça, au premier problème qu'il a, je suis là pour l'aider. Je me pose pas de questions et je fonce. Le seule truc que je me permets, c'est de râler à tout va. Genre le gars jamais content !
Notre soeur, là, je pense qu'on tient la pire de toute la famille. Et il ne faut jamais la sous estimer. Elle peut paraître fragile, mais elle sait ce qu'elle veut et quand ça va pas, elle a trois grands frères. Alors imaginez les ravages si elle est pas contente. Je suis du genre à la surprotéger.
Et en ce qui concerne Jeanine, c'est une relation de merde. J'aimerais qu'elle arrête de me sous estimer. Qu'elle arrête de trop me materner. Qu'elle arrête tout !!! Je devrais aussi arrêter d'aller la voir pour un rien !
Mon père - L'un des amours toxiques de Jeanine. Elle a le don pour se trouver des connards débiles. Elle l'a rencontré en Californie. Et celui-ci est tombé sous le charme, il a fait tous ces kilomètres pour la suivre jusqu'à Ottawa, tellement elle était son rayon de soleil et qu'il s'était fait avoir comme une merde. C'est ce qu'il me disait à chaque fois qu'il me voyait.. Il se déplaçait chaque année de la côte ouest jusqu'à chez nous le jour de mon anniversaire et figurez-vous que c'était loin d'être pour moi qu'il le faisait. Il était juste là pour le fric et pour parler, car on ne savait pas lui faire fermer sa gueule. Même dans les conversations les plus connes, il avait toujours son mot à dire. La dernière fois qu'on l'a vu, c'était à mes quatorze ans. J'en avais marre qu'il me gâche mes fêtes, putain, c'était ma fête, il se foutait bien de ma gueule devant mes potes, devant ma petite amie, devant mes frères. Ma mère, bien sûr, ne disait rien. Avec le recul, je réalise qu'elle était derrière tout ça. Je sentais le besoin de m'affirmer, alors avec mes frères et ma soeur, on a agit. La petite dernière montait la garde, alors que nous trois, on avait une discussion avec lui. L'argent que ma mère lui donnait était dans ma poche. La drogue qu'il voulait était dans l'autre. Il ne voulait pas partir sans son dû. Et malgré toutes ses conneries, tout ce qu'il a dit, ça n'a rien changé de ma vision. J'ai jeté son héroïne au sol et je vous laisse imaginer ce que ce junkie a reçu dans sa tronche quand il s'est jeté dessus pour la récupérer. C'était moche, mais ça m'a fait un bien fou. L'argent a été diviser en quatre et notre mère nous a félicité l'air de rien, en nous préparant la tarte que l'on préfère !
Mon avenir - J'ai vite compris que l'école était pas faite pour moi. Trop de règles et beaucoup trop de contraintes. Les deux seuls cours que j'aimais bien étaient le sport et la mécanique. Le reste c'était nul. Plus d'une fois, j'avais pensé à arrêter. Pourquoi se casser les couilles, mais mon prof de mécanique avait une certaine emprise sur moi. Il avait remarqué que j'avais du talent et il ne voulait pas que je gâche le tout, pour traîner dans la rue. Il savait bien comment faire et me pousser dans le bon sens. Et puis, comme il le disait si bien, les belles bagnoles sont des aimants à nénettes et je vous assure que c'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Puis les magasins de voitures en sont la preuve, ils en faut peu pour me convaincre. Alors quand j'ai eu l'âge, j'ai passer mon permis au plus vite. C'était indispensable ! En plus, ça me permettait d'être plus indépendant et qui n'est pas fier de sa première voiture ? C'était une Chevrolet Impala. Le problème c'est que j'étais redevable de ma mère pour me l'avoir achetée, mais le bon côté, c'était les filles que j'allais chopées avec ce bijou. J'allais pas être déçu. L'expert de la banquette arrière !
Changement d'air - J'avais envie de voir le monde. Alors les voyages, c'était un truc que je ne pouvait pas me refuser. Une façon de couper les ponts avec ma famille quand j'en ressentais le besoin. Sauf de Craig, il était le seul à savoir où j'étais. J'adorais voir de nouveaux paysages et je m'arrangeais toujours pour visiter les garages customs des géants américains. J'adorais voir ce qu'il faisaient, car la perspective de faire pareil m'a traversé l'esprit Naturellement, voyage égal vacances. Alors pour profiter, j'ai profité. Mexique, sud américain et j'ai même été en Europe pour vous dire ! J'avais pour but de consommer local, goûter à tout, autant jouer la carte du touriste à fond non ? Et quand était venu l'heure du dessert, je les préférais douces et jolies avec un regard qui en dit long sur ses intentions à mon égard. La barrière de la langue n'a jamais été un soucis.
Les affaires de famille - Braquer était facile, on ne laissait pas les détails au hasard. On était des pros et on a déjà eu des petits ratés, faut pas croire, mais jamais de mort. Une arme sur la tête et les plus durs deviennent des ramollos. On devait garder un œil toujours attentif. Leur faire peur était la meilleure solution. Ma spécialité était d'ouvrir des coffres qu'on aurait pas pu transporter. Un chalumeau en main, une foreuse et aucune porte ne me résiste. Fallait aller vite et dans le pire des cas, un petit explosif bien placé et on n'en parle plus. L'argent, les choses de valeur, c'est ça que l'on veut. Alors un conseil, laisse toi faire et donne moi tout, évitons les ennuis. Après pour le reste, c'est Jeanine qui s'occupe de faire du fric avec ce qu'on lui ramène.
Le MotorHead Garage - C'était ma grande fierté. Mon garage ! C'est vrai que l'achat s'est passé sur un coup de tête. J'avais pas encore fini la visite que j'étais déjà prêt à signer. La devanture était moche, mais j'avais remarqué la capacité de l'intérieur. C'était énorme, il y avait un bureau et une sale pour le personnel, sans oublier des endroits pour stocker les produits et le matériel. Il manquerait juste la cabine pour peindre les voitures. Il y avait du boulot pour que tout soit à mon goût, mais cela ne me fait pas peur. 3 semaines plus tard, les lieux avaient bien changé. On pouvait voir en grand le nom du garage et la devanture vendait du rêve. J'étais pas difficile sur la clientèle. Petite ou grosse réputation, tant que c'était positif, tout était bon pour se faire connaître. Mes débuts étaient parfaits ! Après trois mois, j'avais accumuler un peu de retard et avait presque délaissé ma famille. Alors j'avais créée une offre d'emploi. J'avais été vague sur mes critères mais fallait du savoir faire. J'avais reçu aucune réponse. Jeanine était derrière tout ça, encore une fois ! Et pire encore, elle avait demander à certains clients de changer de garage. D'où le fait que ça devenait la merde... A force, j'avais plus de travail et m'être engueuler avec elle, n'a pas aidé. Quelques semaines plus tard, après que j'avais décidé de tout revendre, ayant perdu la flamme. J'étais en pleine déprime, ma réputation durement gagnée était morte et les derniers clients, je les avais refusé. J'avais fait ce qu'elle voulait, mais j'étais pas préparé à la venue de celle qui arriva. Une jeune femme, sortie de nulle part, elle était séduisante à tomber à la renverse. Ce qu'elle me dit m'a surpris. je dis pas qu'il n'y a pas de femme dans ce métier, mais souvent, on peut les confondre avec des routiers longs courriers ! Je ne sais pas comment lui dire que c'était mort et que c'était fini, alors on a discuté un long moment et elle quand même poser la questions sur cet endroit et surtout si il fonctionnait bien. Je ne lui ai pas totalement dit la vérité et fait comprendre c'était pas le meilleur des moments, mais qu'avec d l'aide, ça allait repartir. Il n'a pas fallut longtemps pour que notre remontée soit enfin là. L'influence de ma mère était morte et l'argent allait rentrer à nouveau petit à petit !
Enfin un nom - Peu de temps après, j'avais monté une petite équipe. A vue d'oeil, c'était pas la crème des crème, ils avaient pas de diplôme et même l'un d'eux avait fait de la prison, mais ils avaient l'envie et le talent. Ils avaient une revanche à prendre sur ce monde de merde. On a réalisé à cinq, un superbe custom pour un client américain. C'était une Camaro de 69, même là, on avait tous notre spécialité, moi, c'était la peinture par exemple. Cette petite perle nous a rapporter gros; Enfin les salaires n'étaient plus un problème. Nous aurons tous de quoi vivre. Alors vous imaginez que l'on a fêté ça comme il se devait. on est rester entre nous. Enfin j'avais un frère qui traînait dans le coin. L'alcool, la musique, c'était mémorable. Ca faisait neuf mois que mon employée préféré était là et je suis pas sûr que sans elle, j'aurais fait remonter ce garage. J'étais parti pour chercher de quoi fumer dans mon bureau, mais je ne retrouvais plus rien. Les collègues avaient donc envoyé la jeune femme me chercher, car ils avaient peur que je suis mort. Personnellement, c’était pas une mauvais idée, elle s'était faite toute jolie pour la petite fête, ça changeait de sa salopette de travail. J'avais réussi jusqu'à présent à garder ma casquette de patron vis-à-vis d'elle. Ma seule idée jusque là était donc les voitures sur lesquelles on bossait. Mais à cette heure-ci, avec l'alcool que j'avais dans les veines, c'était pas la carrosserie des voitures qui m'intéressait, elle a fermé la porte derrière elle. Je me suis avancer et la suite, je vous en passe les détails. Mais c'était torride. Ca faisait un moment que je voulais arriver à ça, j'étais pas dans sa tête, mais elle avait l'air d'être du même avais que moi, j'avais totalement zappé le reste de la soirée ! Après cette nuit passée ensemble, sans prise de tête entre deux voitures ou juste quand je le méritais, on a remis le couvert. Je ne sais pas si les autres étaient au courant, mais on essayait d'être le plus discret possible, on était avant tout des professionnels non ?
Risques calculés - Dans mon temps libre, ce que j'aime faire en plus que de chasser la donzelle, c'est faire de la motocross. Je connais de bons endroits où me donner à fond. Oublier mes soucis, car dans cette activité pas le choix que de rester concentré pour éviter les accidents graves. Mais j'aime aussi les bécanes plus rapides pour monter sur l'autoroute et monter au maximum. C'est pas tous les jours que je m'autorise ce petit risque inutile. Mais dans le fond, je suis un touche à tout. T'as un bon plan, je suis partant et si un de ma famille propose, alors allons y direct.
Mon passe-temps coupable - Mon activité personnelle, je sais, il y a beaucoup trop de septiques autour de moi, donc croyez moi en parlant de ça, j'ai pas peur de passer pour un con. Moi, j'y crois dur comme fer, à quoi ? Aux fantômes bien entendu. J'ai déjà eu des preuves et à ceux qui je l'ai montrés, ils m'ont dit fermement que je tenais un truc. Chasser des fantômes pour moi, ça remonte à longtemps. J'adorais écouter ces histoires et je ne ratais jamais une émission à la télévision. Tout ça m'a donné envie de faire la même chose. Sous mon lit, chez moi, j'ai toute la panoplie. Le melmètre, la spirit box et des enregistreurs de PVE. Donc avec des amis, on s'introduit quelques fois dans des lieux hantés et on essaie de ramasser des preuves. Dans le noir et l'inconnu, ça donne de sacrés frissons. Certains lieux ont de quoi te faire faire des cauchemars.
Petites annexes- J'adore manger des fast foods et je suis toujours là pour manger un nouvel hamburger.
- Je ne pourrait pas faire de mal aux animaux, ils ont encore la pureté et l'innocence qu'on a tous perdu !
- Je roule en moto la majorité du temps, mais quand vient les sales jours, je n'hésite pas à sortir mon quatre roues.
- Comme tous ceux de ma famille, je sais me servir d'une arme à feu et j'ai pris goût à ces dangerosités et cela malgré les restrictions du pays.
- Ca m'arrive de prendre de la drogue pour le fun, mais souvent je me contente de l'herbe. Je ne suis pas un adepte.
- Je dis jamais non pour une partie de jambes en l'air. Les courbes féminines sont ma plus grande drogue. Alors une ou deux demoiselles, je suis toujours partant !
on le voit pas souvent sur les rpg 
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