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Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment

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Swan Torres

Swan Torres

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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:11


Histoire




La vie est belle.
Du moins, c'est ce que je croyais.
Pourtant, j'ai eu beaucoup de signes qui auraient dû m'avertir que quelque chose de grave se présageait.
Mais je n'écoutait pas les signes du destin, je n'y croyait pas.

Je suis née dans une famille aux revenus modestes, et pourtant j'étais la plus heureuse du monde. L'argent ne fait pas le bonheur, c'est l'amour qui fait tourner le monde.
Mes parents ont fuis l'Inde bien avant que je naisse, en quête d'un meilleur avenir. Ils recommençaient à zéros dans un pays qu'ils connaissaient déjà grâce à ma mère qui est née et a vécue pendant 16 ans au Canada. Ce n'était pas simple. Mais ça ne faisait pas peur au jeune couple... c'était comme si, ensemble ils pouvaient surmonter tout les défis.
Quand je dis que l'amour est à l'origine de tout, je n'avait pas tout à fait tord. Mais comment vivre d'amour une fois qu'il n'est plus à votre porté? C'est la question que je me pose encore aujourd'hui.

Mon père a quitté le domicile quand j'avais 6 ans. Il était tombé amoureux d'une autre femme.
Etonnement, je n'ai que très peu de souvenirs de lui, c'est comme si il n'avait jamais existé pour moi. Ma mère, accablée par le chagrin, ne souhaitait pas dire quoi que ce soit sur tout ça et nous enfermait dans l'ignorance de ce symbole masculin que nous ne connaîtrions jamais. Aujourd'hui encore, je ne connaît ni le nom ni le visage de cet homme, pas même le pourquoi du comment il a fait la connaissance de notre mère. Il n'est que la raison de notre présence dans ce monde, et c'était déjà trop.
La décadence fut lente mais déchirante : l'alcool fut la seule délivrance de ma mère qui ne voyait pas le bout du tunnel, qui n'arrivait pas à se relever de son chagrin.

Je n'était pas seule dans mon malheur : grande soeur de trois triplés de type masculin, je me suis occupée d'eux comme une maman, cette dernière n'étant plus capable d'assumer ce rôle.
J'avais 10 ans que j'ai commencé à m'occuper pleinement de mes frères et de la maison. Ils avaient 7 ans à cet instant, mais ils avaient encore besoin d'assistance...
Nous vivions convenablement grâce aux aides, mais nous faisions attention de ne pas ébruiter la situation pour ne pas être séparés. Je ne connaissait que trop bien le système d'adoption à cette époque, ayant envisagé la possibilité de trouver une meilleure situation à mes frères qui ne méritaient pas cette vie qui leurs étaient imposées. Mais je me risquait à la séparation des triplés et de moi-même, ce que je ne pouvait même pas concevoir. Je ne pouvait pas vivre sans mes frères malgré la complexité de la vie, et eux non plus ne pouvaient pas vivre sans moi. De part cette situation peu commune, nous avions tissés des liens très forts et ils me soutenaient énormément malgré leurs jeune âge.

Tout comme moi, la vie les a forcé à grandir plus tôt que prévu et à voir la vérité en face : nous ne pouvions compter que sur nous quatre pour survivre.

Les années passaient et se ressemblait. Nous avions adopté le nom de ma mère " Torres " pour définitivement tirer un trait sur l'homme qui n'avait plus le nom de " papa " à nos yeux. Notre mère se murait dans le silence, tabassée par l'alcool et peu reconnaissante de ce petit geste qui était tout de même une énorme preuve d'amour pour nous.
C'était comme si elle se laissait mourir sans vouloir en finir. Elle s'accrochait à la vie mais n'avait plus l'étincelle de bonheur qui caractérisait ce regard qu'elle arborait fièrement.
Pendant longtemps je m'en suis voulue de n'avoir rien fait pour eux, pour mes deux parents. Si j'avais été peut-être plus facile ou plus aimante, mon père serait-il resté ? Mais j'ai vite compris que ça n'était pas de mon ressort...
Les adultes ont une manière de s'aimer bien particulière et je venais d'en faire l'expérience...

Nous grandissions avec les années. Je n'était pas bien grande d'ailleurs, mes frères m'ont vite rattrapés et se sont longtemps moqué de moi. J'adorait cette ambiance bonne enfant qui régnait dans la maison, malgré la douleur et les fantômes du passer.
Passionnée par l'art et me réfugiant dans la musique, j'ai appris à jouer du violon rien qu'en écoutant les symphonies de Bach et de Beethoven. Je me suis d'ailleurs payé mon premier violoncelle à 14 ans en effectuant des tâches ménagères et des travaux chez nos voisins d'immeuble. C'était un petit quartier, tout le monde se connaissait et tout le monde connaissait mon amour pour la musique classique. C'est ainsi qu'après 6 mois de durs labeurs à enchaîner les petits boulots chez les voisins et la bonne tenue de la maison que je me suis offert mon premier instrument. Je ne manquait pas de faire des concerts tout les soirs à mes petits frères, comme une berceuse pour qu'ils puissent allez dormir sereinement. C'était un rituel, un beau rituel qui deviendra l'un de mes plus beaux souvenirs d'enfance...

C'est à 18 ans que l'amour sonna enfin à ma porte. Soudainement, sans que je m'y attende.
Bon, il a pas vraiment sonné et il était pas derrière la porte, mais j'aime parler comme une poète!
Je ne donnerait pas son nom par peur que vous ne commenciez à le maudire sur trois générations..
Il était dans ma classe au lycée et me faisait tout les appels de phares possible et inimaginable pour me faire comprendre que je l'intéressait. Mais moi j'étais naïve et le peu de notions que j'avais de l'amour était dans les livres ou les séries romantiques. Je ne pouvait pas imaginer que quelqu'un puisse s'intéresser à moi un jour, je ne m'imaginait pas dans cette position là...
Et pourtant j'aimais me faire belle, me maquiller, j'étais coquette et le regard des autres comptait énormément à mes yeux. J'étais adolescente...

L'amour est dangereux tant qu'on ne sais pas le manipuler avec précaution. C'est une leçon que mon père a tenté de m'inculquer, malgré lui, en quittant la maison. Mais je ne faisait pas attention aux signaux, je ne prenait pas le recule nécessaire au contraire. Tout ce qui m'intéressait, c'est qu'un autre humain s'intéresse à moi autrement que par mes prouesses de ménage ou de repassage. Je me sentais désirable aux travers les yeux d'un serpent à sonnette caché sous les traits du prince charmant.

Il n'aura pas de prénom dans cette histoire, seulement une appellation : Le pervers narcissique.
Savez vous ce que c'est qu'un pervers narcissique ?

Le pervers narcissique n’a qu’une idée en tête : satisfaire ses propres désirs. Ceux des autres ? Il n’en a que faire ! L’immaturité affective est une caractéristique constante dans la définition du pervers narcissique. Ce manipulateur hors pair est tel un enfant de quatre ans, encore incapable de faire preuve d’empathie ou d’identifier les besoins d’autrui. Pourtant, le pervers narcissique a conscience de l’emprise qu’il exerce sur sa victime, seulement il est n'a aucune idée de la souffrance qu’il occasionne.

Il était le cancer de mon coeur. J'étais fragile, rêvant d'amour et de prince charmant tandis que lui ne voulait que satisfaire son besoin de perversion.

Dans les premiers temps qui ont suivis son attaque, il a été le prince charmant que je désirait tant. Pour mieux planter ses griffes dans ma chaire, il me donnait ce dont j'avais le plus besoin. Il s'insinuait profondément en moi, gagnait cruellement ma confiance et s'apprêtait à attaquer et laisser naître le serpent.
Le fonctionnement de ce type de spécimen est plus minutieux qu'on ne pourrait l'imaginer, il travaille sa victime sur le long termes pour mieux la briser entre ses doigts.
J'étais une proie facile, ne connaissant rien de l'amour, il était capable de me donner une vision altérée de ce sentiment. Une vision qui l'arrangeait et qui excuserait ses actes cruels. Il pouvait ainsi sévir sans s'inquiéter, me reprochant même de ne pas être assez ouverte d'esprit ou me faisant culpabiliser de ses propres erreurs.

Interdiction de me maquiller, le pervers narcissique est jaloux et ne supporte pas que l'on regarde sa proie. Le moindre contact non verbal d'un autre homme à mon égard était signe de confrontation. Je n'était alors qu'une salope qui ne cherchait qu'à le pousser à bout et qui finirait par le tromper. Je me faisait insulter pour des actes que je n'avait pas commis, mais je m'excusait en pleurant pour qu'il ne me quitte pas. Il avait réussi à se rendre indispensable à mes yeux, me faisait croire que je ne pouvait plus vivre sans lui. Et ça marchait...
Interdiction de porter des robes ou des shorts, il n'avait pas envie que la concurrence me regarde comme un bout de viande. Et pourtant c'était comme ça qu'il me traitait...
Je ne pouvait plus avoir d'amis masculins et devait marcher dans la rue les yeux baissés, on ne sais jamais.. quelqu'un pourrait me voler à lui. Il parvenait quand même à être mignon dans ses phases de cruauté, pour équilibrer la balance...
Il me menaçait de me quitter si je n'obéissait pas à ses désirs, mais parvenait quand même à me dire je t'aime droit dans les yeux. Mensonge éhonté que je croyait bêtement.
Notre couple fonctionnait par menace, même si j'étais déjà sous son emprise et que je pouvait lui donner le bon dieu sans confession. Il me dénigrait sur ma coiffure, sur ma poitrine trop volumineuse, je n'était pas assez comme cela ou pas suffisamment comme ci... et je me devait de garder le sourire. C'était primordiale, je ne devait pas flancher.
Car la moindre phase de rébellion et il ne se gênait pas pour me balancer en pleine figure : " ce que tu me fais là, je quittais mes ex pour moins que ça " . Je m'excusais à nouveau, par peur qu'il ne m'abandonne. Dénigrée et rabaissée quotidiennement, j'arrivais à lui trouver des excuses à son comportement et à l'aimer si fort que ça me faisait mal. J'avais beau pleurer, je disait à mes amies " Il a juste besoin qu'on l'aide " car pour moi son comportement résultait d'un manque de quelque chose. Je me considérais comme sa sauveuse, son punching ball dont il avait besoin pour affronter la vie. Je ne pouvait pas entendre ce que me disaient mes amies, je ne pouvait pas concevoir que ce garçon était toxique pour moi.

Cette péripétie a duré 6 longues années. 6 ans où j'ai perdu énormément de poids car j'avais peur de ne plus plaire à ce garçon, je me faisait violence pour ne plus manger et être toujours belle à ses yeux, même si je ressemblait plus à une esclave qu'à une petite amie.

Il a pris ma virginité. Je ne voulait pas la lui offrir mais il s'en est emparé comme si elle lui était dû, comme s'il la méritait pour tout les sévices qu'il me faisait endurer. Il l'a prise de force, ne me laissant pas d'autres choix. Il en avait envie et ça lui donnait le droit de ne pas entendre mon " nom " et mes larmes. J'avais mal. J'avais mal et mon coeur me brûlerait de douleur.
Il a souvent tenté de m'expliquer. Quand une femme aime son maris, c'est son devoir de femme de laisser faire. Que c'est ainsi que fonctionne la vie. Que je devait m'y résoudre car on ne pouvait rien y changer...
Malgré ses explications venus d'un autre siècle, je continuait de me débattre et de pleurer. La douleur était si vive dans mon bas-ventre que c'était insupportable, je ne pouvait pas...

Les coups ont laisser place aux paroles. Il les utilisait d'abord pour me tenir tranquille, que je me laisse faire bien docilement. Puis quotidiennement pour que je me soumette un peu plus à lui. Le " Non " était une raison simple pour que je rentre chez moi avec la lèvre fendue ou l'oeil assombris.

Mes frères ont longtemps essayé de me tirer les vers du nez, ne comprenant pas pourquoi je revenait dans cet état quotidiennement. Je ne pouvait pas me résoudre à raconter cette faiblesse, moi qui avait été si forte jusqu'à présent à leurs yeux.
Je me contentais alors de sourire , de dire qu'il n'y avait rien et qu'il ne fallait pas s'inquiéter, prétextant une simple querelle entre filles.
Ils n'étaient pas dupes mais savaient qu'ils n'obtiendraient rien de plus venant de moi, et ça me suffisait.

Peu à peu, la joie devint de la tristesse et je ne savais plus sourire. J'étais juste fatiguée de souffrir. Suite aux nombreux reproches qu'il avait fait sur mon corps, je me sentais trop grosse et trop laide pour lui, alors que je faisait déjà à peine 43 kilos à force de maigrir. Il renvoyait une image de moi qui n'existait pas, l'image d'une petite salope qui ne savait pas la chance qu'elle avait d'avoir un garçon comme lui dans sa vie. Une petite salope ingrate qui ne voulait pas obéir et qu'il allait finir par quitter.
Bien sûr, la menace d'une éventuelle rupture et des coups qui suivirent suffisait à me convaincre d'être sage et ne plus dire non.
Je sombrais dans la folie au fur et à mesure. J'avais l'impression de suivre le chemin de ma mère qui n'avait plus que son alcool et les soap-opéras pour garder la tête hors de l'eau.

Les années passèrent, je dissimulait mes cicatrices et mes bleus sous d'énormes pulls. Même quand il faisait chaud...
La moitié de mes revenus en job étudiant lui revenait, car apparemment c'est comme ça que ça doit marcher et ça explique pourquoi je venais d'une famille pauvre. Il savait tourner la situation à son avantage, jusqu'à utiliser ma propre famille à ses fins.

Je ne vais pas m'éterniser plus longtemps sur mes déboires, je pense que vous avez suffisamment compris...
Je rajouterais juste des mots clés pour conclure et définir cette relation : violence, viols, tristesse, larmes, esclavage, dépendance, soumission...

Mais je crois que quelqu'un quelque part a entendu mon appel au secours.
Printemps 2018, pour la troisième et dernière fois ma vie a soudainement basculée.
Monsieur le pervers venait de décrocher son permis moto que je lui avait payer, car il n'avait pas les moyens et m'avait pas mal mis la pression, c'était mon rôle de payer après tout. Je lui ai même acheté sa moto, j'ai du faire un crédit mais c'est pas grave. Sa phrase fétiche c'était : " Foutu pour foutu hein ? " en faisant référence à ma situation financière pas très joyeuse...

Ce jour là il pleuvait à torrent. Mais pour une raison que je ne comprend toujours pas, il voulait absolument essayer sa nouvelle bécane. Peut-être a-t'il lui aussi eu un flash ? Ce flash qui laisse pressentir que sa vie allait changer à jamais ? Je ne saurais pas dire...
La seule chose que j'ai retenue c'est le dernier geste qu'il a eu avant de démarrer : me donner son casque.
Simple galanterie ou action pour montrer que c'est un bonhomme qui n'a pas besoin de ces trucs de tapettes ? Allez savoir... c'était bien son genre...
Sur le moment, j'ai été touchée.. mais je pense sincèrement que c'était plus par frime que par réelle peur que je me blesse. Quel idiot...

Une fois que nous avions démarré sur l'asphalte humide, je ne me souvient de plus grand chose. Juste de mon corps engourdie étalé sur le bitume humide, une larme de sang qui coule sur mon oeil et me brouille la vue.
Nous venions de faire un accident.
Glissade.
Percuté plusieurs voitures sur notre course.
Voltige.
Percuter le sol dans un bruit étouffé.

Il n'y avait aucun son autour de nous, comme si la vie c'était arrêté en même temps que la sienne.
Il était mort sur le coup, sa tête complètement arrachée... si seulement il avait porté ce satané casque.
Par miracle, je m'en suis sortis avec des trucs cassés par-ci par-là, mais en vie.
Physiquement en vie...

Aujourd'hui, les séquelles de cette mésaventure sont toujours encrés dans mon coeur et je vais avoir du mal à guérir, je le sais.
Ma mère n'était pas venue me voir à l'hôpital...
Avec mes frères, nous nous sommes convenus de la mettre dans une maison de repos afin qu'elle puisse être prise en charges par des professionnels.
Nous avons arrêté de nous battre contre le passer et cet accident a été l'élément déclencheur.

Avec difficulté j'ai décroché mes diplômes et je survie comme je peux avec ces plaies au coeur.
La suite de mon histoire, c'est avec vous que je compte l'écrire désormais...

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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:12

Bienvenue à toi ! Tu as fait un heureux et en plus, tu as pris un super scénario ! Hâte de rp avec toi ♥

Si tu as besoin de quoique ce soit, le staff est là pour toi Very Happy
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:13

Bienvenue officiellement frangine !!!!!!!!
Merci encore de prendre mon scénario

J'adore ce que je lis
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:16

hey , bienvenue ici officiellement Cool Cool , c'est coollll que tu fasses la sœur de Jackson ( on est potes et maintenant que je sais qu'il a une sœur encore plus MDR:sifflote: ) hâte de voir la suite et après tout ça on se regarde pour un lien Cool Cool Cool Cool Cool Cool Cool
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:19

bienvenue à toi ^^ une copine artiste !
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:20

Pas touche à la famille Deran batte
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:23

@Craig H. Weary : Merciii, je suis aussi super contente d'avoir pris ce scénario, j'ai hâte de finir et commencer à jouer :3 merci infiniment en tout cas <3

@Jackson Buttler : Holà frangin, merci beaucoup !!! Hâte que tu lises la suite et de rp avec toi :3

@Deran Weary : hot tu passes sur ma fiche et à la maison quand tu veux ! * vois le grand-frère débarquer * Oops, faut que je file  hihi  sifflote

@Georgia Wells : Ooh copine, hâte de rp avec toi luv
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 22:25

Je te garde une place bien au chaud !

Et faîtes gaffe, je sors les crocs
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyLun 31 Aoû 2020 - 23:32

Bienvenue ma jolie heart heart
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  EmptyMar 1 Sep 2020 - 0:40

Je vais tagguer @Jackson Buttler comme c'est son scénario avant de te validé Wink
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MessageSujet: Re: Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment Swan Torres || Quand j'fait nuit blanche avec mes cauchemars, y'a que mes rêves qui s'endorment  Empty

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